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J’ai appris à cacher ma colère. Trop bruyante. Trop brute. Pas compatible avec l’image que je voulais montrer. J’ai appris à dépasser ma tristesse. Trop profonde. Trop lourde. Je croyais qu’elle me rendait petite. Mais ce que j’ai refoulé a commencé à me guider. Doucement. Inconsciemment. Jusqu’à ce que je ne me reconnaisse plus. La colère n’est pas une ennemie. La tristesse n’est pas une erreur. Toutes deux sont des forces. Encore informes. Et quelque part entre les deux, q

Je voulais changer, mais sans risque. J’ai attendu, je me suis raconté des histoires et je me suis retenue moi-même. Le vrai changement a commencé quand j’ai arrêté de me mentir. Ce texte n’est pas du coaching réconfortant. Il est honnête. Et peut-être un miroir pour toi aussi.