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Quand la colère et la tristesse deviennent force
J’ai appris à cacher ma colère.
Trop bruyante. Trop brute.
Pas compatible avec l’image que je voulais montrer.
J’ai appris à dépasser ma tristesse.
Trop profonde. Trop lourde.
Je croyais qu’elle me rendait petite.
Mais ce que j’ai refoulé
a commencé à me guider.
Doucement. Inconsciemment.
Jusqu’à ce que je ne me reconnaisse plus.
La colère n’est pas une ennemie.
La tristesse n’est pas une erreur.
Toutes deux sont des forces.
Encore informes.
Et quelque part entre les deux, q

Désirée Huguelit
29 oct.2 min de lecture
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